Infirmière dans une clinique privée je me suis, un jour, laissée séduire par un médecin au corps d’Apollon. Devant la machine à café, il m’a susurré : « Rendez-vous chambre n°28 dans 10 minutes ! ».

Alors là, je suis tombée des nues. Trop bouleversée pour dire quoi que ce soit j’en suis restée bouche bée. Mais, l’heure venue, je faisais mon entrée dans cette pièce sombre aux stores baissés, pimpante et fraîche comme une rose, émue mais surtout très impressionnée. Avais-je perdu la tête pour mordre à l’hameçon ?

Ce beau docteur m’attendait déjà, assis sur un siège, l’air détendu et sûr de lui. Il m’a intimé l’ordre d’ouvrir ma blouse, ce que j’ai fait les doigts tremblant. Comme je ne portais pas de soutien-gorge, il a détaillé mes seins blancs bien lourds puis j’ai entraperçu un éclair de satisfaction dans son regard quand ses yeux se sont posés sur ma culotte en dentelle. Soudain, il s’est levé pour glisser ses doigts entre mes cuisses fermes et douces.

Je confesse que j’étais déjà bien mouillée puisque les scénarios les plus fous s’étaient auparavant bousculés dans ma tête.

Soudain, il a sorti un foulard de sa poche pour emprisonner mes mains. Jamais je n’aurai pensé qu’il aimait soumettre une femme à ce point. Il m’a accroupie sans douceur et m’a enfoncé son sexe déjà dur au fond de la gorge. Mes poignets me faisaient souffrir le martyr mais visiblement ça l’excitait de me dominer.

Après quelques minutes, que j’ai trouvées interminables, il s’est retiré de ma bouche endolorie et m’a tirée par les cheveux, écrasant mon nez contre le matelas. Là, il a embroché mon entrecuisse comme si je n’étais qu’une pouliche. Mon vagin surmonté d’un fin duvet de poils blonds a accueilli cette pénétration avec bonheur.

Coulant de plaisir de façon vraiment indécente et toute gémissante, j’ai savouré chaque va-et-vient. Quel délicieux amant ! Mais, avant que je ne puisse lui dire « encore », sa main s’est plaquée contre ma bouche. En sueur et le corps arqué en arrière alors que son pouce et son index pinçaient mon téton, j’avais mal.

Devenue son objet sexuel, il n’a eu de cesse de tirer mes longs cheveux blonds et de sonder mon intimité. Comme poussé par une subite pulsion bestiale, ce cher docteur m’a planté sa virilité entre les fesses.

Estomaquée, je suis subitement devenue muette. Là, je me suis mise à me caresser librement, mes mains s’étant accidentellement libérées de ce foulard qui, juste avant, entravait mes mouvements.

Le coup de grâce est subitement arrivé. Il m’a retournée pour éjaculer sans cérémonie sur ma poitrine laiteuse. Comme si je n’étais qu’une soubrette, il m’a alors dit « Rhabille-toi et sors».

Honteuse de m’être offerte de la sorte, j’ai refermé la porte derrière moi, encore toute essoufflée et les cheveux en bataille. Après avoir confessé cette expérience sexuelle à une collègue, j’ai appris la terrible rumeur, il paraît qu’il a engrossé plus d’une jeune et jolie infirmière !

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