Archives mensuelles : mars 2014

Obligée de trouver un emploi cette belle nana blonde espagnole a trouvé cette place de femme de ménage.

Depuis que son mec la quitté il faut qu’elle gagne sa vie et la jolie espagnole fait toujours de l’effet à ses patrons car elle sait qu’il y a moyens d’arrondir les fins de mois en se faisant tringler par ses boss.

C’est le cas dans cette sextape où le patron la filme et fantasme sur elle pendant qu’elle passe l’aspirateur.

La femme de ménage est très mignonne et les piercings qu’elle porte excitent beaucoup les gars.

Son pervers de patron lui fait comprendre que si elle le suce bien, elle aura certainement une augmentation.

La blondasse se laisse convaincre et commence par lui faire une turlutte d’enfer.

Pour plus d’effet la salope suce en mode gorge profonde mais là le lascar ne tient plus alors il s’occupe de son minou pour le lui défoncer jusqu’à l’orgasme commun.

Mariée depuis trop longtemps et transparente aux yeux de mon mari, j’ai décidé de partir en chasse pour me trouver un amant pour la soirée. J’ai trouvé une excuse valable pour le fuir quelques heures un samedi soir.

Sous prétexte d’aller au restaurant pour changer les idées à une amie cafardeuse, j’ai enfilé un tailleur très féminin et assez court pour me rendre à l’adresse d’un club privé. J’ai 31 ans, une chevelure châtain clair qui boucle, je suis élancée, plutôt jolie et j’aime me faire remarquer !

Ce soir-là, j’avais enfilé des bas nylon soutenus par un porte-jarretelles noir très chic, petite folie à laquelle j’ai cédé suite à un coup de cœur, et j’avais chaussé mes escarpins noirs. J’étais ravissante et désirable. Ma bouche maquillée de rose et mes yeux bleu turquoise soulignés d’un trait de crayon noir étaient du plus bel effet. Je me sentais sexy et, comme l’audace ne m’a jamais fait défaut, j’ai su que cette soirée serait placée sous le signe de la débauche.

Dès que j’ai franchi la porte de ce club libertin situé à quelques pas de chez moi, je me suis sentie femme. Bien des regards masculins m’ont scruté et déshabillé du regard, j’étais flattée et j’avoue que je me suis sentie rougir comme une midinette.

Oui j’étais seule, et alors ? Un homme, la trentaine, distingué et avec une bonne élocution m’a souhaité la bienvenue et entraîné par le bras dans un petit salon pour faire connaissance.

Tout est allez très vite …

Alors qu’il me parlait, ses doigts frôlaient ma bouche pulpeuse, mon cou, mes épaules et son regard admirait l’échancrure de mon chemisier en satin. Le cœur palpitant à l’idée de tromper mon mari avec le premier venu et l’entrejambe moite, je me suis sentis grisée !

Soudain, cet inconnu a tout mis en œuvre pour palper ma chatte et ce geste entreprenant m’a fait un effet fou. N’y tenant plus, j’ai retiré mon string et fait tomber ma jupe, ou l’inverse. Comme j’étais venue dans ce lieu pour baiser et bien c’est ce que je fis, et avec allégresse en plus !

Quelques minutes seulement après avoir profité de la langue de ce type talentueux pour faire couler une femme, un deuxième homme, plus jeune, nous a rejoint. Là j’avoue que j’étais comme une tigresse en rut … Coups de langues et caresses m’ont fait perdre la raison. Dès lors, je n’ai eu plus qu’une envie, me faire prendre coûte que coûte par ces deux hommes désormais nus. Tandis que la verge de l’un visitait ma chatte, celle de l’autre m’imposait de puissants va-et-vient par derrière. Ma raie glissante et lisse a bénéficié de tant d’allées et retours qu’elle s’est retrouvée béante comme une huître ouverte. Mon cul, lui, a été tellement bombardé par cet amant sans nom que lui aussi s’est élargi.

Cette expérience libertine qui s’est terminée en douche de sperme pour moi va, à mon avis, être suivie de bien d’autres escapades sexuelles tant j’ai trouvé ça bon.

Ne vous trompez pas en découvrant cette gonzesse on a l’impression que c’est une coincée du cul qui aime le sport par dessus tout.

Son coach qui vient l’entraîner chez elle pense aussi ça mais aujourd’hui il va découvre qu’en fait c’est une sacrée chiennasse qui est toujours partante pour une bonne baise hard.

Alors que le coach montre quel muscle bouge au niveau des fesses, il n’arrive pas à se retenir et commence à lui caresser son beau petit cul.

La coquine se laisse volontiers faire et tend même son derrière pour profiter au maximum de ces caresses.

Après avoir doigter sa chatte le coach offre sa teub à son élève et là il découvre que cette Sainte Nitouche est en fait une sacrée suceuse de bite qui aime le sexe.

Le chaud duo s’en donne à coeur joie et les préliminaires sont chauds bouillants avant de passer à la pure baise qui sera hard et jouissive.

Infirmière dans une clinique privée je me suis, un jour, laissée séduire par un médecin au corps d’Apollon. Devant la machine à café, il m’a susurré : « Rendez-vous chambre n°28 dans 10 minutes ! ».

Alors là, je suis tombée des nues. Trop bouleversée pour dire quoi que ce soit j’en suis restée bouche bée. Mais, l’heure venue, je faisais mon entrée dans cette pièce sombre aux stores baissés, pimpante et fraîche comme une rose, émue mais surtout très impressionnée. Avais-je perdu la tête pour mordre à l’hameçon ?

Ce beau docteur m’attendait déjà, assis sur un siège, l’air détendu et sûr de lui. Il m’a intimé l’ordre d’ouvrir ma blouse, ce que j’ai fait les doigts tremblant. Comme je ne portais pas de soutien-gorge, il a détaillé mes seins blancs bien lourds puis j’ai entraperçu un éclair de satisfaction dans son regard quand ses yeux se sont posés sur ma culotte en dentelle. Soudain, il s’est levé pour glisser ses doigts entre mes cuisses fermes et douces.

Je confesse que j’étais déjà bien mouillée puisque les scénarios les plus fous s’étaient auparavant bousculés dans ma tête.

Soudain, il a sorti un foulard de sa poche pour emprisonner mes mains. Jamais je n’aurai pensé qu’il aimait soumettre une femme à ce point. Il m’a accroupie sans douceur et m’a enfoncé son sexe déjà dur au fond de la gorge. Mes poignets me faisaient souffrir le martyr mais visiblement ça l’excitait de me dominer.

Après quelques minutes, que j’ai trouvées interminables, il s’est retiré de ma bouche endolorie et m’a tirée par les cheveux, écrasant mon nez contre le matelas. Là, il a embroché mon entrecuisse comme si je n’étais qu’une pouliche. Mon vagin surmonté d’un fin duvet de poils blonds a accueilli cette pénétration avec bonheur.

Coulant de plaisir de façon vraiment indécente et toute gémissante, j’ai savouré chaque va-et-vient. Quel délicieux amant ! Mais, avant que je ne puisse lui dire « encore », sa main s’est plaquée contre ma bouche. En sueur et le corps arqué en arrière alors que son pouce et son index pinçaient mon téton, j’avais mal.

Devenue son objet sexuel, il n’a eu de cesse de tirer mes longs cheveux blonds et de sonder mon intimité. Comme poussé par une subite pulsion bestiale, ce cher docteur m’a planté sa virilité entre les fesses.

Estomaquée, je suis subitement devenue muette. Là, je me suis mise à me caresser librement, mes mains s’étant accidentellement libérées de ce foulard qui, juste avant, entravait mes mouvements.

Le coup de grâce est subitement arrivé. Il m’a retournée pour éjaculer sans cérémonie sur ma poitrine laiteuse. Comme si je n’étais qu’une soubrette, il m’a alors dit « Rhabille-toi et sors».

Honteuse de m’être offerte de la sorte, j’ai refermé la porte derrière moi, encore toute essoufflée et les cheveux en bataille. Après avoir confessé cette expérience sexuelle à une collègue, j’ai appris la terrible rumeur, il paraît qu’il a engrossé plus d’une jeune et jolie infirmière !